Bonjour!

La mouette prend son envol...

Attention, de là-haut, elle voit tout...

Et elle sait lire.....


lundi 23 novembre 2009

Ayatollah







Thierry Henry se convertit à l'islam.













vendredi 20 novembre 2009

Fiat panis




20 novembre : Journée Internationale des droits de l'enfant












Et toi,











qu'est-ce que tu en penses,














de la main d'Henry?































jeudi 15 octobre 2009

Quand un maroquin chasse l'autre.




Carnets de voyages d'un sodomite errant.








Il y a des choses que je n'assume plus depuis une mauvaise expérience avec un Marocain, il y a trente ans dans un sauna. C'était un ouvrier immigré, assez beau gosse, qui ne pensait qu'à son plaisir et se vengeait de tout le reste, en bon macho, la lutte des classes au bout du zob enfoncé jusqu'à la garde dans le cul des jeunes bourgeois. Il m'avait blessé, infecté d'une maladie, souffrance tenace et secrète dont j'ai mis des mois à me guérir. Je n'ai plus recommencé. Mais là, c'est différent, je n'ai même pas mal, je le laisse m'emmener où il veut, pourvu que ce soit avec lui ; il est devenu mon homme.








samedi 10 octobre 2009

Loi émotionnelle







Castration chimique : une victime d'inceste répond à Sarkozy


A l'occasion de l'affaire Hodeau, vous et des membres du gouvernement, vous êtes déclarés favorables à une législation autorisant la castration chimique de certains délinquants sexuels. Une proposition de loi devrait d'être déposée en urgence, d'ici la fin du mois. Elle reprendrait un texte de 2007 dans lequel il s'agissait de pouvoir imposer ce châtiment aux violeurs d'enfants de moins de 13 ans.

Selon Michelle Alliot-Marie, « cette affaire dramatique illustre la nécessité de renforcer encore notre dispositif de lutte contre la récidive et de prise en charge des criminels sexuels ».

Non, ce que cette affaire illustre, c'est votre propension éhontée à faire d'un drame une opportunité politique. Yves Nicolin, député UMP s'apprêtant à déposer la proposition de loi dont il est question, présente les choses sans détour :
« Autrefois, l'opinion et l'Etat n'étaient pas prêts à aller dans ce sens, mais cela a changé. » « Nous devons profiter de ce fait tragique pour mettre en place cette solution qui a fait ses preuves. »

Profiter ? J'ai bien lu. Et comment profite-t-on d'un tel drame à l'UMP ? En recevant à l'Elysée les proches de la victime assassinée et en faisant la publicité de leur émoi intime alors qu'ils sont encore sous le choc.

Votre stratagème relève de l'imposture.
Vous n'éprouvez donc pas le moindre scrupule à exploiter la douleur d'autrui dans le but de récolter les faveurs de l'opinion publique quant aux visées barbares de votre politique populiste ? Sans doute misez-vous sur le fait que le procédé sera perçu comme légitime grâce à la prétendue nécessité de la castration chimique et sa supposée efficacité. A moins que vous ne comptiez plutôt sur l'immunité d'un discours qui affirme implicitement que s'opposer à vos intentions et vos méthodes revient à prendre le parti des criminels contre les victimes.

Un tel stratagème relève de l'imposture. Car à y regarder de plus près, vos pseudo solutions ne servent pas plus la protection des citoyens qu'elles n'assurent la défense des victimes. Et ce n'est pas la première fois que vous tirez profit de pareilles manipulations.

Je n'ai pas la naïveté de croire qu'une lettre ouverte comme la mienne puisse avoir une quelconque incidence sur votre conduite. Mais j'entends exprimer publiquement mon indignation devant l'attitude profondément cynique et hypocrite qui est la vôtre.
Monsieur le Président, en tentant de vous faire passer pour « le président des victimes », vous sortez du cadre de la simple démagogie. Les déclarations nimbées de pathétisme que vous-même ou vos collaborateurs prononcent à l'occasion de coups médiatiques savamment orchestrés par vos soins sont indignes.

Elles dénotent un scandaleux manque de respect pour ceux dont vous vous servez. De plus, vous vous payez littéralement la tête des millions de victimes anonymes de la pédo-criminalité, dont dans les faits, vous n'avez que faire.

Manœuvres politiques.
Mais vos méfaits ne s'arrêtent pas là. Vos manœuvres politiques nous entraînent sur cette dangereuse pente où la justice tend à se confondre avec une arme de vengeance. Au mépris des principes de notre république et au détriment des intérêts des victimes.

Par ailleurs, votre instrumentalisation prend en otage celles et ceux que vous prétendez défendre, en les incluant de gré ou de force dans vos outrances. Vous répandez ainsi le préjugé qui veut que les victimes soient nécessairement porteuses d'attentes aussi exorbitantes que les propositions qui émanent de votre idéologie sécuritaire.

Et parce que vous donnez à penser que se préoccuper d'elles conduirait nécessairement aux dérives qui sont les vôtres, nombre de citoyens soucieux du maintien d'une démocratie digne de ce nom considèrent désormais que la justice se doit absolument d'ignorer ces dernières.

Pire, une part non négligeable d'entre eux se fait à présent un devoir de vilipender afin les faire redescendre du soi-disant piédestal sur lequel vous les mettriez. Victimes de viols répétés par deux agresseurs -dont un mineur- durant dix années de mon enfance, je suis contre la castration chimique, contre la rétention de sûreté et contre le durcissement de la justice pour les mineurs.

Des hommes et non des monstres.
Parce que je considère que ces criminels sont bien des hommes et non des monstres -n'en déplaise à notre image de l'humain- et que j'honore le respect de la dignité de chacun. Parce que je sais que la vengeance n'est pas réparatrice et que la haine est destructrice.

Parce que je crois aux bienfaits d'une justice équitable, également respectueuse des droits des accusés et des plaignants, des coupables et des victimes. Parce que je suis effarée par le gouffre qui se tient entre la réalité de la pédo-criminalité et la maigre conscience que nos sociétés en ont.

Et parce qu'il m'importe de regarder les choses en face et non de m'éviter l'angoisse des questions que ce problème soulève sur la nature humaine en prônant des solutions superficielles, qui non seulement ne résolvent rien mais entretiennent le déni de chacun.

Aussi, l'image stigmatisante des victimes qui se dégage de vos déclamations est pour moi une offense. Et je me trouve lésée, dans mon quotidien, par les calamiteuses conséquences de votre politique. A défaut de chercher véritablement à protéger les enfants de notre pays et de vous intéresser réellement du sort des millions de Français victimes de pédo-criminalité, pourriez-vous, au moins, faire preuve d'un peu plus de décence ?






jeudi 8 octobre 2009

Du Parnasse à l'Hélicon.















Béotiens sans frontières.


Le Pen
Hamon
Darcos
...







Les Stupra — Albert Mérat, Arthur Rimbaud et Paul Verlaine


L’Idole
Sonnet du Trou du Cul


Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu’au cœur de son ourlet.

Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s’aller perdre où la pente les appelait.

Mon Rêve s’aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.

C’est l’olive pâmée, et la flûte caline ;
C’est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !


Albert Mérat.
P. V. ─ A. R.



mercredi 7 octobre 2009

Foire aux vins à l'Elysée













Château Mitterrand 2009...



... à consommer très rapidement, risque fort de tourner au vinaigre.





Projet de loi.














Pour combattre la pédophilie, le ministère de la culture propose d'abaisser l'âge de la majorité sexuelle à huit ans.







jeudi 1 octobre 2009

Il faut castrer Polanski








Frédéric Lefebvre, prône le recours à la "castration chimique" après ce meurtre d'une joggeuse près de Milly-la-Forêt (Essonne). "Ne doit-on pas enfin décider la mise en œuvre de la castration chimique pour ce type d'individu ?"










Emasculator, le vengeur démasqué.









Chronique de la barbarie ordinaire







Etats-Unis - Après l'exécution ratée, un condamné demande un sursis



Après l'exécution ratée, un condamné demande un sursis
Les avocats de Lawrence Reynolds, dont l'exécution est prévue le 8 octobre dans l'Ohio, ont déposé un appel après l'injection létale ratée de Romell Broom.
Il avait attendu deux heures que l'équipe d'exécution trouve une veine suffisamment solide pour supporter la piqûre d'une aiguille.



Romell Broom, condamné à la peine capitale dans l'Ohio, Etat américain qui a repris ses exécutions en 1999, aurait dû mourir le 15 septembre. Mais il avait dû patienter deux heures que l'équipe d'exécution trouve une veine suffisamment solide pour supporter l'injection létale, avant de retourner vivant dans sa cellule. Du coup, sa mise à mort a été suspendue au moins jusqu'au 30 novembre. Et son cas, une première "depuis plus de 60 ans" aux Etats-Unis, est désormais brandi par les avocats d'autres condamnés qui déposent des recours.



Les défenseurs de Lawrence Reynolds, 43 ans, condamné à mort en 1994 pour avoir battu à mort et étranglé une femme de 67 ans, et dont l'exécution est prévue le 8 octobre, ont ainsi déposé un appel. Dans une requête devant une cour d'appel fédérale, ils estiment qu'il existe dans l'Ohio "une tendance à des problèmes graves dans l'administration de l'injection mortelle". Une requête équivalente a été déposée devant la Cour suprême de l'Ohio, ont également assuré les avocats du bureau des défenseurs publics. Elle a cependant des chances limitées d'aboutir : plusieurs condamnés à mort avaient déjà, en 2008, entamé une action commune contre le protocole de mise à mort de l'Ohio, qu'ils disent inconstitutionnel car "cruel". Depuis lors, certains de ces plaignants ont été exécutés.



Plusieurs cas d'exécutions ratées


La mention d'une "tendance à des problèmes graves" faite par les avocats de Lawrence Reynolds ne s'appuie pas sur le seul cas de Romell Broom : les avocats citent également les exécutions de Christopher Newton, en mai 2007, où l'équipe avait mis plus d'une heure à trouver une veine, laissant le temps au condamné d'aller au toilettes au milieu de la procédure, et de Joseph Clark l'année précédente, pleurant de douleur alors que sa veine avait éclaté pendant son exécution.


"L'Etat sait qu'il y a des problèmes avec la procédure et avec les qualifications, la compétence et la formation de l'équipe chargée de la mise à mort", assurent les avocats. "Cette cour ne peut pas laisser l'Etat de l'Ohio autoriser cette exécution sans un plan de secours complet et valable, mis en oeuvre par du personnel formé et qualifié, au cas où (l'équipe) ne trouve pas d'accès à une veine", ajoutent-ils. Ils observent que "si l'Etat de l'Ohio utilise le même protocole défectueux que pour exécuter MM. Clark et Newton pour tenter d'exécuter M. Broom, et que ça tourne mal, la souffrance infligée sera intentionnelle". Et ils détaillent la douleur probablement ressentie par Joseph Clark, sur la base de l'autopsie de son corps qui a montré l'injection des produits hors de la veine et des "épanchements".



Dans sa réponse, le ministère de la Justice de l'Ohio affirme que "les difficultés pour trouver les veines de M. Broom et le report de son exécution ne signifient pas que l'exécution de M. Reynolds ou d'autres condamnés ne puissent être conduites correctement".






vendredi 11 septembre 2009

Hortefeux-Dupont Lajoie








“Pour beaucoup de nos compatriotes, l’immigration est une source d’inquiétude. Ils y voient une menace pour leur sécurité, leur emploi, leur mode de vie. Et les Français qui pensent ainsi sont aussi respectables que tous les autres. Il faut comprendre les attentes, les espoirs de cette majorité silencieuse.”


Brice Hortefeux, Assemblée Nationale, 18/09/07





jeudi 10 septembre 2009

PUB GRATUITE...






Il suffit d'insulter Ségolène Royal, le plus grossièrement possible, et La Nouvelle République vous ouvre généreusement ses colonnes. (Edition du 10 sept. 2009 titre à la une + page4 + page45)




Gagnant/Gagnant


La NR trouve matière à nourrir sa haine envers Mme Royal.

Vous placez votre pub gratuitement.

Et les gogo-lecteurs sont contents.



Les rédacteurs de ce quotidien pourtant longtemps respectable sont-ils devenus de tels crétins?.. Ou de simples folliculaires stipendiés.









Comité de rédaction en plein travail.






lundi 7 septembre 2009

Rafale et déforestation







L'écolo-tartuffe parlera-t'il CO2 avec Lula???





Zéro déforestation

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Déforestation: Ban Ki-moon veut une réunion au sommet en septembre



Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, lors de la Conférence sur le climat, le 3 septembre 2009 à Genève

Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a annoncé jeudi qu'il entendait réunir les chefs d'Etat et de gouvernement des pays les plus boisés de la planète, dont le Brésil et l'Indonésie, pour trouver des solutions au problème de la déforestation.
AFP - le 03 septembre 2009, 17h05.

Selon l'ONU, la forêt d'Amazonie a ainsi perdu plus de 17% de sa surface (875.000 mètres carrés) depuis 2005, soit une superficie comparable à celle du Pakistan.
"Je vais demander aux dirigeants des pays forestiers de se rencontrer", a expliqué le secrétaire général de l'ONU lors d'une conférence de presse organisée en marge de la Conférence sur le climat qui se tient jusqu'au 4 septembre à Genève.
La réunion, prévue le 22 septembre à New York, est organisée conjointement avec la Norvège, a précisé M. Ban. Elle devra s'attaquer à la "sérieuse question" de la déforestation, qui est responsable d'environ 20% des émissions de gaz à effet de serre à l'origine du réchauffement climatique, a-t-il dit.

"J'ai exhorté de nombreux dirigeants, en particulier ceux des pays forestiers, à se saisir de cette question", a insisté le chef de l'ONU, invitant particulièrement certains pays, dont le Brésil, l'Indonésie et la République démocratique du Congo (RDC), à participer à la réunion.

Celle-ci devrait se dérouler au même moment que la rencontre internationale de haut niveau organisée par l'ONU à New York le 22 septembre, durant laquelle les dirigeants discuteront du sommet de Copenhague de décembre.

Sous l'égide de l'ONU, ce sommet vise à trouver un accord international pour succéder au protocole de Kyoto sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, considérées comme largement responsables du changement climatique.




















EXTRAIT DU FIGARO SCIENCES



De fait, le premier mandat de Lula a été marqué par la plus importante destruction de l'histoire de l'Amazonie : plus de 10 000 kilomètres carrés pour la seule année 2004.La réalité semble leur donner raison. La récente envolée des cours agricoles, en particulier du soja et de la viande, ainsi que la demande croissante d'éthanol-carburant, dérivé de la canne à sucre, ont relancé la production. Certes, ni le soja ni la canne ne sont plantés en Amazonie, du fait de son climat tropical.


Mais en occupant plus de terres, il y pousse d'autres activités, notamment l'élevage. Parallèlement, l'installation de ces cultures attire des populations qui accélèrent la déforestation pour construire des villages à proximité des champs. C'est d'ailleurs dans le Mato Grosso, principal État agricole du Brésil, qu'a été enregistrée la plus grande déforestation entre août et décembre 2007, avec environ 1 790 kilomètres carrés défrichés.


La publication de ces chiffres a déclenché une véritable guerre entre le ministre de l'Environnement et celui de l'Agriculture, qui refuse la responsabilité de la dégradation. Le président Lula a convoqué une réunion d'urgence pour tenter de limiter le niveau de destruction. Le gouvernement a décidé d'augmenter de 25 % le nombre d'agents fédéraux pour surveiller et dénoncer l'extension des cultures à la frontière de l'Amazonie. L'absence de contrôle est en effet le principal problème, du fait de l'importance des distances et du non-respect des lois. Le gouvernement vient également de décréter que les agriculteurs pris en flagrant délit de déforestation n'auront plus droit aux crédits préférentiels.


Enfin, Brasília a publié une liste noire de 36 municipalités où il ne sera plus possible de toucher à un seul arbre. Mais l'action de l'État fédéral est insuffisante si elle n'est pas relayée localement. De la demi-douzaine d'États situés dans l'immense forêt, seul celui d'Amazonas fait un effort de préservation. Il vient de créer une bolsa floresta, ou «bourse forêt», subvention versée aux familles qui s'engagent à ne plus défricher.


En revanche, dans le Mato Grosso, le gouverneur, Blairo Maggi, est aussi le premier producteur de soja du Brésil. En cinquante ans, 17 % de l'Amazonie a disparu.



lundi 13 juillet 2009

Anticulture







..ou abstraction...



Attends bouges pas j'ai un mail d'Orel j'te rappelle
Ce soir j'suis rentré du taff plus tôt que d'habitude
Je suis passé chez toi pour te faire une surprise
Quand j'suis arrivé t'étais dans ton hall avec l'autre type qui est en cours
avec toi
Et je vous ai vu...
Je vous ai vu vous jeter sur l'autre, il passait les mains sous ton pull
pendant que tu l'embrassais
Putain j'avais envie de vous tuer j'étais choqué j'croyais que tu étais
différente des autres pétasses
J'te déteste j'te hais

J'déteste les petites putes genre Paris Hilton les meufs qui sucent des queues
de la taille de celle de ''Lexington''
T'es juste bonne à te faire péter le rectum même si tu disais des trucs
intelligents t'aurais l'air conne
J'te déteste j'veux que tu crèves lentement j'veux que tu tombes enceinte et
que tu perdes l'enfant
Les histoires d'amour ça commence bien ça fini mal
Avant je t'aimais maintenant j'rêve de voir imprimer de mes empreintes
digitales
Tu es juste une putain d'avaleuse de sabre, une sale catin
Un sale tapin tout ces mots doux c'était que du baratin
On s'tenait par la main on s'enlaçait on s'embrassait
On verra comment tu fais la belle avec une jambe cassée
On verra comment tu suces quand j'te déboiterai la mâchoire
T'es juste une truie tu mérites ta place à l'abattoir
T'es juste un démon déguisé en femme j'veux te voir briser en larme
J'veux te voir rendre l'âme j'veux te voir retourner brûler dans les flammes

Refrain x2

Poupée je t'aimais mais tu m'as trompé
Tu m'as trompé tu l'as pompé, tu es juste une sale pute
Une sale pute une sale pute une sale pute une sale pute

J'déteste les sales trainées comme Marjolaine
Les petites chiennes les chichiteuses les filles à problèmes
J'rêve de la pénétrer pour lui déchirer l'abdomen
Je t'emmènerai à l'hôtel je te ferai tourner dans ma villa romaine
Tu suces pour du liquide tu te casses à marrée basse
Pétasse tu mériterais seulement d'attraper le DAS
Le seul liquide que je t'ai donné c'est mon sperme
Si j'te casse un bras, considères qu'on s'est quitté en bons termes
J't'aime j'ai la haine j'te souhaite tout les malheurs du monde
J'veux que tu sentes la chaleur d'une bombe j'veux plus jamais que tu me
trompes
J'étais trop fidèle (sale pute)
J'ai les nerfs en pelote (sale pute)
J'vais te mettre en cloque (sale pute)
Et t'avorter à l'Opinel

"Oh mais c est de ta faute t'étais jamais là pour moi"

Oh je m'en bas les couilles c'était de la faute à qui
J'te collerai contre un radiateur en te chantant 'Tostaky'
J'veux que tu pleures tous les soirs quand tu tu t' endors
Parce que t'es du même acabit que la pute qu'à ouvert la boite de pandore

Refrain x2

J ai la haine j'rêve de te voir souffrir
J ai la haine j'rêve de te voir souffrir baby
J ai la haine j'rêve de te voir souffrir
J ai la haine j'rêve de te voir souffrir baby





lundi 22 juin 2009

Charivari à Versailles

























Les godillots sont lourds dans l'sac, les godillots sont lourds...

















Du coup d'éclat au coup d'Etat!


















Et demain... L'Empire...






















Petit à petit le rat grignotte...

... si Versailles m'était Comté...

jeudi 11 juin 2009

Au revoir Albanel..



HADOPI'p,Hip, Hip, Hourra!!!









Sarkozy, je te vois...








mercredi 10 juin 2009

L'ordre règne au CNRS.





http://passouline.blog.lemonde.fr/2009/06/10/-pour-islamophiliun-chercheur-inquietee/#xtor=RSS-3208




Je me nomme Vincent Geisser. Je suis chargé de recherche au CNRS (CR1)
et président du Centre d’information et d’études sur les migrations
internationales (CIEMI). J’ai été recruté au CNRS en octobre 1999, affecté à
l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman
(IREMAM), localisé à Aix-en-Provence. Avant cette nomination, j’étais chargé
de mission au Ministère des affaires étrangères (MAE :1995-1999), en tant que
chercheur à l’Institut de recherche sur le Maghreb
contemporain (IRMC) de Tunis. Dans ce cadre, je dirigeais un programme
scientifique euro-maghrébin sur les migrations étudiantes et intellectuelles
dans le bassin méditerranéen, dont les résultats ont été publiés en 2000 aux
éditions du CNRS. C’est donc tout naturellement que j’ai sollicité en
2003-2004, auprès des instances du CNRS, une « Aide à projet nouveau », en
vue de poursuivre mes recherches sur les migrations intellectuelles entre
l’Europe et le Maghreb, en m’intéressant cette fois-ci aux chercheurs
maghrébins ou d’origine maghrébine travaillant pour les institutions
publiques françaises (université, CNRS et INSERM). Il s’agissait pour mon
équipe de faire une évaluation scientifique rigoureuse de la contribution
des « chercheurs et des universitaires maghrébins » au rayonnement de la
recherche française dans le monde, en privilégiant les sciences
fondamentales. Ce projet a particulièrement intéressé les instances du CNRS,
puisqu’elles ont décidé de financer mon programme de recherche APN à hauteur
d’environ 20 000 euros. C’est précisément dans ce cadre « APN » labellisé
«CNRS » que nous avons lancé officiellement en avril 2005 notre enquête
quantitative sur « les enseignants-chercheurs issus des migrations
maghrébines ».


Je tiens à préciser, toutefois, que nous avons débuté cette enquête dans un
climat assez lourd et passionnel. En tant qu’auteur de l’ouvrage,
La Nouvelle islamophobie, paru en septembre 2003 aux éditions La Découverte et
qui a connu une certaine médiatisation (10 000 exemplaires vendus), j’ai
fait l’objet de nombreuses attaques provenant de différents milieux,
notamment de l’extrême droite. Ce rappel permettra de comprendre beaucoup de
choses et, en particulier, la surveillance étroite dont j’ai fait l’objet de
la part du Fonctionnaire défense du CNRS.


En effet, c’est en septembre 2004 que se manifeste pour la première fois le
Fonctionnaire sécurité de défense (FD) du CNRS. Avant cette date, je ne
connaissais même pas son existence. Le FD adresse un email au directeur de
mon unité de recherche (IREMAM), lui faisant part d’un certain nombre de
problèmes inhérents à mon enquête. Il s’agit officiellement de régulariser
l’enquête auprès de la CNIL [Commission nationale informatique et liberté].
Au départ, nous pensons que son intervention dans le dossier est de nature
purement technique, voire juridique. En réalité, nous allons très rapidement
nous rendre compte des soubassements sécuritaires de l’affaire. Dans le même
email, le Fonctionnaire défense annonce que l’IREMAM va être prochainement
classé en « établissement sensible » et qu’il appartient au directeur de
l’Unité de lui fournir mensuellement la liste des stagiaires étrangers
hors-Union européenne. C’est devenu une pratique routinière des directeurs
de laboratoires du CNRS que de transmettre chaque mois la liste des «
étrangers » travaillant dans leurs murs.. En somme, l’email du Fonctionnaire
défense tend à accréditer l’idée que notre enquête sociologique - pourtant
banale - constitue une enquête « sensible » dans un établissement « sensible
», touchant une population « sensible », sur une zone géographique «
sensible » (le Maghreb et le monde arabe en général). Mais, il est vrai,
qu’au départ, nous ne faisions aucun lien entre l’objet de notre enquête -
strictement scientifique - et le « climat sécuritaire » qui commençait à
gagner certaines institutions. C’est la lecture a posteriori des
correspondances email qui fait apparaître ce « climat de suspicion » qui
entoure notre laboratoire, en général, et certains chercheurs, en
particulier, notamment ceux qui, comme moi, ont le « malheur » de travailler
sur les questions d’islam, d’islamisme et d’autoritarisme dans le monde
arabe.


Dès lors, le Fonctionnaire défense ne me lâchera plus. A partir de septembre
2004, il ne ce cessera de faire pression sur les instances locales,
régionales et nationales du CNRS afin de me limiter dans mes activités
scientifiques et intellectuelles, allant jusqu’à exiger des sanctions à mon
égard. Il se déplacera même à Aix-en-Provence, le 2 février 2006, pour
m’inspecter, en présence du Directeur de mon unité de recherche et du
Délégué régional du CNRS « Provence ».
Officiellement, la visite du FD a un but purement technique, afin de
finaliser la mise en conformité de mon enquête avec les exigences de la
CNIL. Ce que je conçois tout à fait. Mais après deux heures d’examen, le FD
commence à me poser des questions précises sur le contenu d’un certain
nombre de mes écrits, conférences ou déclarations de presse. A ma grande
stupéfaction, je me rends compte alors que le Fonctionnaire défense dispose
d’un dossier complet sur mes activités publiques, y compris des prises de
parole à l’étranger dans le cadre du Conseil de l’Europe. Il me demande de
me justifier sur un certain nombre de prises de positions, notamment mes
critiques sur l’association « Ni Putes, Ni Soumises ». L’examen technique du
questionnaire (objet officiel de la rencontre) se transforme en
interrogatoire sur mes activités scientifiques, philosophiques et
politiques. De même, il met en garde notre directeur d’unité sur les
chercheurs signataires de certaines pétitions et lui demande de les rappeler
à l’ordre afin qu’ils ne signent plus avec la mention « CNRS ». Je ressens
personnellement un profond malaise dans une situation où un simple entretien
professionnel se transforme rapidement en « interrogatoire politique ». A ma
grande stupéfaction, je découvre qu’un véritable système de fiches de
renseignements sur les chercheurs ‘ ou, du moins, sur certains d’entre eux -
a été mis en place par le Fonctionnaire défense au sein même du CNRS.


Alors que nous avions constitué un dossier de régularisation de mon enquête
auprès de la CNIL, celui-ci ne sera jamais transmis. Le 15 mars 2007, nous
recevons un courrier officiel du secrétaire général du CNRS nous demandant
de « procéder à la destruction de tous les éléments collectés dans le cadre
de cette enquête ». Le secrétaire général du CNRS se réfère à une
jurisprudence de la CNIL et non à une décision motivée par ladite
commission. En somme, il semblerait que le dossier n’est jamais été transmis
à la CNIL, alors que tous les éléments de « mise en conformité » avaient été
envoyés et que le CNRS avait même rédigé un projet de lettre à son
président. Ni le directeur de l’IREMAM, ni le responsable de l’enquête,
n’ont été informés de cette « mise en sommeil » unilatéral du dossier. Nous
pensions sincèrement qu’il était en cours d’examen à la CNIL. Cela confirme
bien l’hypothèse sécuritaire : il semblerait que l’action du Fonctionnaire
défense durant ces 4 années n’avait nullement pour but de m’assister
techniquement dans la procédure de légalisation de l’enquête mais tout
simplement de l’enterrer, sous prétexte que son auteur serait suspect d’ «
islamophilie » ou de relations de proximité avec les milieux musulmans.
Cette hypothèse m’est confirmée oralement par un collègue du CEVIPOF,
Vincent T’, qui dit avoir été consulté par le ministère de la Défense sur
mon enquête à propos du « risque » de constitution d’un « lobby
arabo-musulman » au sein du CNRS (sic). A ce moment, je me confie à mes
collègues chercheurs, ainsi qu’à un certain nombre de spécialistes des
enquêtes quantitatives qui me conseillent de réagir, y compris en
publicisant « l’Affaire ». J’avoue que pour protéger l’institution et ne pas
nuire à l’image du CNRS, je n’ai pas voulu en faire une « affaire d’Etat ».


En juillet 2008, la directrice SHS (sciences humaines et sociales) du CNRS,
Marie-Françoise Courel, prévient oralement l’un de mes collègues, directeur
de recherche, que le Fonctionnaire défense veut obtenir des sanctions à mon
égard pour mes écrits d’opinion. La directrice SHS se pose en médicatrice,
en me prévenant officieusement par email des pressions incessantes exercées
par le Fonctionnaire défense sur les instances du CNRS afin que je sois
sanctionné. J’avoue que mon moral est au plus bas et que, ce que je perçois
comme un véritable « harcèlement moral » finit par peser sur ma santé.
J’hésite alors à déposer plainte. Mais encore une fois, je ne veux pas nuire
aux intérêts de mon laboratoire et au prestige du CNRS qui, plus est, dans
une période de crise institutionnelle et de restructuration.



Le 4 avril 2009, j’adresse un message privé et personnel par email au Comité
de soutien de la jeune allocataire de recherche, « Sabrina ».
Dans le communiqué publié par ce Comité, il apparaît clairement que le
Fonctionnaire défense est intervenu directement pour obtenir le non
renouvellement de son allocation de recherche. J’avoue que la modération
dont j’avais preuve jusqu’à présent finit par céder, et ce d’autant plus que
je constate que le FD a fait une « nouvelle victime ».Il est vrai que dans
mon message privé de soutien à Sabrina, je comparais l’action sécuritaire du
FD aux méthodes utilisées contre les Juifs et les Justes. A aucun moment, je
ne mets en cause le CNRS en tant qu’institution scientifique. Je m’étonnais
simplement que la logique sécuritaire finisse par prévaloir sur la logique
de la science et de la diffusion du savoir. Toutefois, je tiens à rappeler
que mon email avait un caractère strictement privé, voire intime, et qu’il
n’était pas destiné à être publié ni sur un Blog, ni sur un quelconque site
Internet. C’est précisément pour cette dernière affaire que je suis convoqué
officiellement devant le « conseil de discipline » du CNRS.


En réalité, ce qu’il faut bien appeler « l’Affaire Geisser / Fonctionnaire
Défense » s’inscrit sur le long terme (2004-2009) et non simplement dans la
« temporalité » de ces dernières semaines, fruit d’une attitude de suspicion
et de pratiques concrètes de surveillance de mes écrits et de ma pensée qui
ont souvent frôlé le harcèlement moral et ont nui à mes activités de
chercheur et d’universitaire. Sur un plan plus général, cette affaire
traduit l’intrusion inquiétante de logiques policières et sécuritaires au
sein même des milieux scientifiques et universitaires, dont la finalité est
de contrôler la production et la diffusion du savoir.



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Yves Sintomer
Professeur de sociologie politique
Université’ de Paris 8

Directeur adjoint du Centre Marc Bloch
Schiffbauerdamm 19
D-10117 Berlin
Tel: +49. (0)30. 2093 3795
Fax: +49. (0)30. 2093 3798

Chercheur ‘ l'UMR Culture et Soci’t’s Urbaines CNRS Site Pouchet
59-61 rue Pouchet
75849 Paris Cedex 17
Tel: +33 (0)14025 1133
www.sintomer.net






vendredi 22 mai 2009