Bonjour!

La mouette prend son envol...

Attention, de là-haut, elle voit tout...

Et elle sait lire.....


vendredi 11 septembre 2009

Hortefeux-Dupont Lajoie








“Pour beaucoup de nos compatriotes, l’immigration est une source d’inquiétude. Ils y voient une menace pour leur sécurité, leur emploi, leur mode de vie. Et les Français qui pensent ainsi sont aussi respectables que tous les autres. Il faut comprendre les attentes, les espoirs de cette majorité silencieuse.”


Brice Hortefeux, Assemblée Nationale, 18/09/07





jeudi 10 septembre 2009

PUB GRATUITE...






Il suffit d'insulter Ségolène Royal, le plus grossièrement possible, et La Nouvelle République vous ouvre généreusement ses colonnes. (Edition du 10 sept. 2009 titre à la une + page4 + page45)




Gagnant/Gagnant


La NR trouve matière à nourrir sa haine envers Mme Royal.

Vous placez votre pub gratuitement.

Et les gogo-lecteurs sont contents.



Les rédacteurs de ce quotidien pourtant longtemps respectable sont-ils devenus de tels crétins?.. Ou de simples folliculaires stipendiés.









Comité de rédaction en plein travail.






lundi 7 septembre 2009

Rafale et déforestation







L'écolo-tartuffe parlera-t'il CO2 avec Lula???





Zéro déforestation

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Déforestation: Ban Ki-moon veut une réunion au sommet en septembre



Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, lors de la Conférence sur le climat, le 3 septembre 2009 à Genève

Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a annoncé jeudi qu'il entendait réunir les chefs d'Etat et de gouvernement des pays les plus boisés de la planète, dont le Brésil et l'Indonésie, pour trouver des solutions au problème de la déforestation.
AFP - le 03 septembre 2009, 17h05.

Selon l'ONU, la forêt d'Amazonie a ainsi perdu plus de 17% de sa surface (875.000 mètres carrés) depuis 2005, soit une superficie comparable à celle du Pakistan.
"Je vais demander aux dirigeants des pays forestiers de se rencontrer", a expliqué le secrétaire général de l'ONU lors d'une conférence de presse organisée en marge de la Conférence sur le climat qui se tient jusqu'au 4 septembre à Genève.
La réunion, prévue le 22 septembre à New York, est organisée conjointement avec la Norvège, a précisé M. Ban. Elle devra s'attaquer à la "sérieuse question" de la déforestation, qui est responsable d'environ 20% des émissions de gaz à effet de serre à l'origine du réchauffement climatique, a-t-il dit.

"J'ai exhorté de nombreux dirigeants, en particulier ceux des pays forestiers, à se saisir de cette question", a insisté le chef de l'ONU, invitant particulièrement certains pays, dont le Brésil, l'Indonésie et la République démocratique du Congo (RDC), à participer à la réunion.

Celle-ci devrait se dérouler au même moment que la rencontre internationale de haut niveau organisée par l'ONU à New York le 22 septembre, durant laquelle les dirigeants discuteront du sommet de Copenhague de décembre.

Sous l'égide de l'ONU, ce sommet vise à trouver un accord international pour succéder au protocole de Kyoto sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, considérées comme largement responsables du changement climatique.




















EXTRAIT DU FIGARO SCIENCES



De fait, le premier mandat de Lula a été marqué par la plus importante destruction de l'histoire de l'Amazonie : plus de 10 000 kilomètres carrés pour la seule année 2004.La réalité semble leur donner raison. La récente envolée des cours agricoles, en particulier du soja et de la viande, ainsi que la demande croissante d'éthanol-carburant, dérivé de la canne à sucre, ont relancé la production. Certes, ni le soja ni la canne ne sont plantés en Amazonie, du fait de son climat tropical.


Mais en occupant plus de terres, il y pousse d'autres activités, notamment l'élevage. Parallèlement, l'installation de ces cultures attire des populations qui accélèrent la déforestation pour construire des villages à proximité des champs. C'est d'ailleurs dans le Mato Grosso, principal État agricole du Brésil, qu'a été enregistrée la plus grande déforestation entre août et décembre 2007, avec environ 1 790 kilomètres carrés défrichés.


La publication de ces chiffres a déclenché une véritable guerre entre le ministre de l'Environnement et celui de l'Agriculture, qui refuse la responsabilité de la dégradation. Le président Lula a convoqué une réunion d'urgence pour tenter de limiter le niveau de destruction. Le gouvernement a décidé d'augmenter de 25 % le nombre d'agents fédéraux pour surveiller et dénoncer l'extension des cultures à la frontière de l'Amazonie. L'absence de contrôle est en effet le principal problème, du fait de l'importance des distances et du non-respect des lois. Le gouvernement vient également de décréter que les agriculteurs pris en flagrant délit de déforestation n'auront plus droit aux crédits préférentiels.


Enfin, Brasília a publié une liste noire de 36 municipalités où il ne sera plus possible de toucher à un seul arbre. Mais l'action de l'État fédéral est insuffisante si elle n'est pas relayée localement. De la demi-douzaine d'États situés dans l'immense forêt, seul celui d'Amazonas fait un effort de préservation. Il vient de créer une bolsa floresta, ou «bourse forêt», subvention versée aux familles qui s'engagent à ne plus défricher.


En revanche, dans le Mato Grosso, le gouverneur, Blairo Maggi, est aussi le premier producteur de soja du Brésil. En cinquante ans, 17 % de l'Amazonie a disparu.