Le PS poursuit sa mue, lente, douloureuse mais inéluctable et salvatrice.
La société est en mutation permanente. Tous les trois ans les forces vives du PS tentent en vain de faire bouger ce parti de zombis, de remettre ses orientations politiques en adéquation avec les attentes des français et se heurtent à l’inertie des notables et autres ayatollahs attachés à préserver qui son petit confort qui ses dogmes archaïques. Après dix ans de défaites électorales et de consensus mous, las des complaintes et des litanies, il s’est englué dans son mauvais cholestérol.
Mais la porte s’ouvre enfin, un peu d’air frais, debout les morts.
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