Bonjour!

La mouette prend son envol...

Attention, de là-haut, elle voit tout...

Et elle sait lire.....


mercredi 29 octobre 2008

E.D.V.I.R.S.P.




TOP

Troubles à l’Ordre Public


Paru dans l’International Médical News

Publication du Professeur Hortefeux (prix Nobel des droits de l’Homme)

« De nouvelles techniques d’échographie permettent la détection précoce des risques de TOP par l’analyse du comportement du fœtus. La police prépare un fichier. »

Le dresseur de l'Education Nationale









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Français

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lundi 20 octobre 2008

Heu-reux







http://fr.youtube.com/watch?v=RsWpvkLCvu4

.

DSK, y’en a qu’aiment pas.





La nomination triomphale de Dominique Strauss-Kahn à la direction générale du Fonds monétaire international (FMI), le 28 septembre 2007, a donné lieu à deux messages contradictoires. D’un côté la presse occidentale exalte la capacité du bloc atlantiste à imposer son candidat face à celui de la Russie, Josef Tosovsky ; d’autre part, elle affirme que la principale mission de M. Strauss-Kahn sera d’associer plus largement les pays du Sud aux décisions, c’est-à-dire de mettre fin à la domination du bloc atlantiste.

Avec chauvinisme, la presse française se félicite que des Français se trouvent aujourd’hui à la tête de quatre grandes organisations internationales. En effet, outre Dominique Strauss-Kahn au FMI, Pascal Lamy dirige l’Organisation mondiale du Commerce (OMC), Jean Lemierre préside la Banque européenne de reconstruction et de développement (BERD), et Jean-Claude Trichet la Banque centrale européenne (BCE). Mais doit-on mettre ces quatre institutions sur le même plan ? Et surtout, doit-on se réjouir d’une situation qui, loin de manifester la place de la France dans le monde, illustre l’intégration des élites françaises dans la mondialisation, c’est-à-dire leur acharnement à détruire leur pays, en tant qu’État-nation, un cadre politique qu’ils jugent dépassé ?

Le dernier exploit en date laisse songeur : le FMI est une des organisations internationales la plus critiquée dans le monde. Il a abondamment financé l’installation de dictatures dans les pays du Sud, notamment en Argentine, au Brésil, en Indonésie, au Nigéria, aux Philippines, en Thaïlande etc… En outre, ses exigences soudaines de remboursement immédiat de prêts ont contraints des États à sacrifier leur avenir en dévaluant et en fermant écoles et hôpitaux. Ses adversaires l’accusent donc d’avoir provoqué, par l’oppression et la famine, des centaines de millions de morts en un demi-siècle, c’est-à-dire bien plus que les agressions militaires des États-Unis durant la même période. De son côté, le FMI considère au contraire que ses politiques « d’ajustement structurel » loin d’avoir provoqué ces catastrophes y ont mis fin. Des « Prix Nobel » d’économie aussi divers que le néo-keynésien Joseph Stiglitz ou le libertarien Milton Friedman ont accusé le FMI d’être le grand organisateur des déséquilibres Nord-Sud. En effet, l’action principale du FMI aura été de financiariser l’économie mondiale, permettant ainsi aux spéculateurs du Nord de s’enrichir en exploitant le travail, plus encore que les ressources, des pays du Sud. S’il n’était la vénération que la société de consommation voue à ses banquiers, il y a longtemps que le FMI aurait été déclaré organisation criminelle. Pourtant, c’est bien cette institution que le socialiste Dominique Strauss-Kahn a ambitionné de diriger, et c’est bien M. Strauss-Kahn qui a obtenu le soutien appuyé des grands argentiers de la planète, pressés de toutes parts par les multinationales les moins scrupuleuses.

Si l’on laisse de côté l’intérêt personnel de Dominique Strauss-Kahn, qui devient ainsi le haut-fonctionnaire le mieux payé de Washington avec un salaire annuel de base de 461 510 dollars net d’impôts, l’on doit se poser la question de ses objectifs politiques. Pour y répondre, jettons un coup d’œil sur sa biographie et découvrons-y ce que la presse mainstream cache depuis des années : ses liens avec les principaux dirigeants de l’administration états-unienne.

Issu d’une famille aisée de gauche, « DSK » a été élevé au Maroc, puis à Monaco. Il reçoit une éducation juive —plus séfarade qu’ashkénaze—, à laquelle il accorde plus d’importance au plan culturel que religieux. Il est diplômé de Sciences-Po Paris, ancien élève d’HEC, licencié en droit et agrégé de sciences économiques. Il se destine à être avocat d’affaires.

Il entre en 1976 au Parti socialiste où il milite au Cères, le courant social-étatiste animé par Jean-Pierre Chevènement. Il ne tarde pas à s’en séparer pour se rapprocher de Lionel Jospin et Jean-Christophe Cambadélis, les deux meilleurs élèves français d’Irving Brown, l’agent de liaison de la CIA avec la gauche ouest-européenne. Jospin et Cambadelis sont issus d’un petit parti trotskiste (les « Lambertistes ») traditionnellement lié à la CIA. Avec une centaine de camarades, ils ont infiltré le PS et ont réussi à prendre les rênes.

Il entre en 1986 à l’Assemblée nationale à la faveur du scrutin proportionnel alors brièvement mis en place. Il choisit de s’implanter, en 1988, dans une circonscription du Val-d’Oise, à Sarcelles, qui abrite une forte communauté juive. Il s’y fait élire en faisant jouer le réflexe identitaire. Il devient président de la Commission des finances de l’Assemblée, puis, en 1991, ministre délégué à l’Industrie et au Commerce extérieur auprès du ministre de l’Économie Pierre Bérégovoy. Tout oppose les deux hommes : « DSK » est un brillant dilettante vivant au milieu des grandes fortunes comme un poisson dans l’eau, tandis que « Béré » est un pénible tâcheron partagé entre ses idéaux ouvriers et son besoin de reconnaissance personnelle par le monde de la finance. « DSK » s’amuse de se dire socialiste tout en faisant le contraire, tandis que « Béré » a des états d’âme.

Alors qu’il est ministre délégué à l’Industrie, il a connaissance des problèmes rencontrés par son ami Jean Peyrelevade à la tête du Crédit Lyonnais. Il intervient personnellement pour favoriser diverses opérations hasardeuses réalisées en faveur de son ami Franck Ullman-Hamon. Cet homme d’affaires est connu pour avoir par ailleurs réalisé diverses interventions en Amérique latine pour le compte d’Israël et pour être actionnaire-fondateur du magazine Marianne de Jean-François Kahn. Les montages de M. Ullman-Hamon avec les filiales du Crédit lyonnais coûteront plusieurs dizaines de millions de francs au contribuable français.

À la même époque, Dominique Strauss-Kahn épouse à la synagogue —en troisièmes noces— une star d’une rare beauté, Anne Sinclair, la journaliste préférée des Français. Le couple choisit de tenir la presse à l’écart de la cérémonie, mais de donner de l’éclat à la fête au sein de la communauté juive, où ils s’affirment comme des personnalités brillantes. Leurs deux témoins de mariage sont le professeur de philosophie Élisabeth Badinter (héritière du Groupe Publicis et épouse du Garde des Sceaux Robert Badinter) et la journaliste Rachel Assouline (épouse du patron de presse Jean-François Kahn).

En 1987, il se démarque de François Mitterrand, il conduit une délégation du Parti socialiste en Israël et se rend à la mairie de Jérusalem qu’il considère comme capitale de l’État hébreu. En 1991, il participe à un voyage de solidarité en Israël, organisé par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) en pleine Guerre du Golfe.

En 1994, usant de sa qualité d’ancien ministre de l’Industrie, il créé le Cercle de l’Industrie auquel il parvient à faire adhérer en six mois 48 des 50 plus grands patrons français. La moitié d’entre eux au moins payent une cotisation annuelle de 200 000 F pour que leurs intérêts soient défendus à Bruxelles. Il laisse la présidence de cette association patronale à Raymond Lévy (ex-Pdg de Renault) et en assure la vice-présidence. Incidemment, le même Raymond Lévy sera nommé à la tête du Consortium de réalisation, chargé de liquider les placements pourris du Crédit Lyonnais et, au passage, d’étouffer les affaires Ullman-Hamon.

Simultanément, DSK devient consultant auprès des mêmes patrons ou avocat d’affaires et établi son bureau dans les locaux du Cercle. La Cogema, la Sofres et EDF, entre autres, lui versent des émoluments exorbitants pour quelques conseils ou un mot transmis à un grand de ce monde. Cette activité peu contraignante lui assure des revenus de plus de 2 000 000 F par an.
Par la suite, il donne des cours à l’université, à Stanford et Casablanca, sans compter des conférences ici et là, toujours royalement payées.
Précisément, aux États-Unis Stanford est le bastion des Républicains. C’est là qu’ils ont leur propre centre de recherches, la Hoover Institution . À l’époque, le prévôt de Stanford —c’est-à-dire la personne qui négocie l’engagement de Dominique Strauss-Kahn— n’est autre que Condoleezza Rice . Sur place, Dominique Strauss-Kahn fait la connaissance de George P. Schultz et des universitaires qui formeront le vivier de l’administration Bush.

En 1995, il rédige la partie économique du programme électoral de Lionel Jospin, candidat à la présidence de la République, Propositions pour la France. Il défend alors le principe de la « taxe Tobin » sur les transactions en devises, dont il affirmera plus tard qu’elle est impraticable.

Député de Sarcelles, il en est aussi brièvement le maire, avant d’en confier les clefs à son fidèle François Pupponi. Le temps de « jumeler la plus juive des communes françaises avec la plus française des communes d’Israël », Netanya.

De 1997 à 1999, il est ministre de l’Économie et des Finances. Il pilote le passage à l’euro et la privatisation de France-Télécom. Surtout, il fait entrer la France dans le processus de financiarisation de l’économie en multipliant les mesures démagogiques sectorielles. L’adoption de la semaine de 35 heures diminue considérablement le nombre d’heures travaillées ; tandis que l’exonération de charges sociales sur les stock-options déplace les revenus des cadres du travail vers la finance. Il résulte de cette politique que le début de décroissance de la production française est compensée, au plan statistique, par un développement des profits financiers. Cependant, en fin de compte, le pouvoir d’achat des classes moyennes s’effrite sensiblement.

Dominique Strauss-Kahn fréquente les cercles les plus prestigieux du pouvoir. Dès 1993, on le voit au Forum de Davos. Anne Sinclair l’introduit au Siècle, l’association la plus mondaine de Paris. Puis, Antoine et Simone Veil le font entrer au Club Vauban. En 2000, l’OTAN l’invite au Club de Bilderberg où il retrouve Pascal Lamy et Jean-Claude Trichet qui occupent avec lui aujourd’hui de prestigieux fauteuils dans les institutions internationales.

Dominique Strauss-Kahn est piégé par son perpétuel mélange des genres entre engagement politique et lobbying rémunéré. Il fait l’objet d’une mise en examen dans une affaire concernant la principale mutuelle étudiante, la MNEF, puis dans une autre relative à la caisse noire de la compagnie pétrolière nationale Elf. Les magistrats estimeront en définitive que ses activités étaient licites, à défaut d’être morales.

Cependant les instructions pénales et une commission d’enquête parlementaire mettront en évidence ses méthodes peu orthodoxes. Lionel Jospin, lorsqu’il était ministre de l’Éducation, avait modifié par décret le taux des remboursements effectués à la MNEF par la Sécurité sociale, transformant la Mutuelle en véritable pompe à finances pour le compte du PS. Puis, il avait étendu les activités de la MNEF dans les campus toujours pour détourner plus d’argent. Dominique Strauss-Kahn lui-même recevait des émoluments considérables pour des prestations imaginaires. Plus tard, il avait fait prendre en charge le salaire de sa secrétaire au Cercle de l’Industrie (ou à son cabinet, il n’est guère possible de différencier) par le groupe Elf.

Derrière des manières policées, un goût prononcé pour la bonne chère et les belles femmes, Dominique Strauss-Kahn est un tueur : lorsqu’apparaît, à titre posthume, l’enregistrement vidéo du promoteur immobilier Jean-Claude Méry mettant en cause Jacques Chirac, on ne tarde pas à découvrir qu’il est un des organisateurs de ce mauvais coup.

Ses démêlées avec la Justice l’écarteront un temps de la scène politique. Pendant sa traversée du désert, son épouse, Anne Sinclair, fera preuve de sang-froid et de dignité, plaidant auprès du public en sa faveur par sa seule attitude.

Opérant son grand retour, en 2001, après avoir bénéficié de non-lieux, il prend en mains le développement de la Fondation Jean-Jaurès, le partenaire de la National Endowment for Democracy (NED) pour la gauche française . La chose est d’autant plus aisée que, depuis Stanford, il connaît la nouvelle conseillère nationale de sécurité des États-Unis Condoleezza Rice, et que c’est la sœur adoptive de celle-ci, Mardeleine Albright qui dirige le National Democratic Institute (NDI), organisme tampon de la NED chargé d’acheminer les subsides du département d’État US dans les caisses du Parti socialiste français.

En 2003, le German Marshall Fund of the United States, une des principales officines atlantistes, crée un Forum sur le commerce et la pauvreté. DSK devient l’un des six administrateurs, rémunéré comme toujours. Il y écrit, ou tout au moins signe, divers rapports en faveur du libre-échange absolu.

La même année, il contraint un expert du Parti socialiste, Pascal Boniface, à démissionner. Ce spécialiste en relations internationales a eu le toupet de souligner que le soutien aveugle du parti à Israël est idéologiquement incohérent et électoralement contre-productif alors que le PS doit ambitionner de réunir derrière lui les six millions de Français de culture arabe.

En outre, Dominique Strauss-Kahn pilote la création du Cercle Léon Blum, au sein du PS, dont l’objectif est de veiller au soutien du parti au mouvement sioniste.

En 2004, il déclare lors d’une interview sur France-Inter : « Je considère que tout juif de la diaspora et de France doit apporter son aide à Israël. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il est important que les juifs prennent des responsabilités politiques. En somme, dans mes fonctions et dans ma vie de tous les jours, à travers l’ensemble de mes actions, j’essaie d’apporter ma modeste pierre à la construction d’Israël. »

En 2005, il lance les clubs « À gauche en Europe » (AG2E) en faveur du « oui » au référendum d’approbation du projet de Traité constitutionnel européen. Il travaille alors en lien avec le Policy Network (Grande-Bretagne) et la Fondation Friedrich-Ebert (Allemagne). Mais les Français votent « non ».

En 2007, alors que l’écrivain Claude Ribbe ouvre un débat sur les conséquences sociales actuelles de l’esclavage et de la colonisation, DSK participe activement à la création du Conseil représentatif des noirs de France (CRAN), une organisation qui bénéficie de conseils techniques de spécialistes israéliens et reproduit le modèle du Conseil représentatif des juifs de France (CRIF). À défaut de trouver un écho parmi les noirs de France, cette initiative sera une réussite médiatique, comme l’avait été quelques années plus tôt la création de SOS Racisme pour stopper la structuration des beurs.

Lorsque s’ouvre la compétition au Parti socialiste pour désigner le candidat à l’élection présidentielle de 2007, Dominique Strauss-Kahn apparaît à la fois comme le candidat le mieux placé face à son rival déclaré, l’ancien Premier ministre Laurent Fabius, et comme le candidat officiel des États-Unis pour la gauche française.

Ainsi, il donne un entretien à la revue néo-conservatrice Le Meilleur des mondes, dans lequel il brocarde la politique arabe de la France et plaide pour un rapprochement avec Washington et Tel-Aviv.

Tout semble réglé à l’avance. Les cotisations d’adhésion au Parti socialiste ont été réduites à un montant négligeable de sorte que les quelques milliers de membres de parti lambertiste ont pu acquérir des cartes, juste pour participer au vote de désignation interne du candidat. La manœuvre a été organisée par le lieutenant de DSK, Jean-Christophe Cambadelis, lui-même ancien dirigeant de ce parti et que nous avons déjà présenté à propos de ses relations avec la CIA.

Pourtant, contre toute attente, c’est un outsider, Ségolène Royal, qui est désigné. C’est qu’à Washington on a un autre projet : placer Nicolas Sarkozy à l’Élysée. Pour cela, il convient d’installer face à lui un concurrent peu crédible. En échange de son retrait silencieux, DSK sera largement récompensé par la direction générale du FMI.

Peu après son accession à la présidence de la République, Nicolas Sarkozy présente la candidature de DSK à Washington, et Condoleezza Rice lui apporte son soutien. Tout en participant à la création de l’European Council on Foreign Relations (E-CFR), il sillonne le monde, officiellement pour convaincre les États du Sud de soutenir également sa candidature. En réalité, leur vote importe peu, puisque les USA et l’Union européenne ont à eux seuls 48 % des voix. La campagne de DSK est payée par la France et organisée par l’agence de relations publiques TD International. Ce que le cabinet de M. Strauss-Kahn minimisera en prétendant ne travailler qu’avec la correspondante française de l’agence. TD International « vendra » à la presse la légende d’un DSK désœuvré, téléphonant au Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker lors d’un colloque à Yalta, lequel lui aurait suggéré d’ambitionner le FMI. En réalité, Dominique Strauss-Kahn et Christine Ockrent participaient au Yalta European Seminar, moyennant un défraiement de 7 000 euros chacun indirectement versés par George Soros. Ce colloque avait pour but de soutenir la « révolution orange » et l’arrimage de l’Ukraine à l’OTAN. Or, TD International est une officine de la CIA, notamment chargée de la construction de l’image publique de la « révolution orange ». Elle est dirigée par William A. Green III, un célèbre agent qui n’était ni plus ni moins que le chef de poste du stay-behind en France et qui fut expulsé en 1995 pour des motifs d’une extrême gravité qui ne furent jamais dévoilés au public.

samedi 18 octobre 2008

HELP




Le 28 octobre 2008, à 01 heure du matin (heure française), Troy Davis va mourir, sans doute innocent.






Condamné à mort en 1991, Troy Davis s’est toujours dit innocent. Sept des neuf personnes qui avaient témoigné contre lui se sont rétractées depuis. La Cour Suprême qui lui avait accordé le 23 septembre un sursis, deux heures seulement avant son exécution, s’est donc de nouveau prononcée pour sa mort. Alors que presque tout plaide en sa faveur, la plus haute institution juridique américaine refuse même d’examiner les preuves d’innocence de l’accusé. Depuis 1991, nombreuses sont les personnalités qui ont appelé à la clémence : l’ancien président Jimmy Carter, l’archevêque sud-africain Desmond Tutu, le Pape Benoit XVI ou encore l’actrice Susan Sarandon.
Amnesty international défend la thèse du complot et affirme que les témoins ont parlé sous la contrainte de la police. « Quand l’accusé est noir et la victime blanche, la probabilité que la peine de mort soit imposée est plus grande. Quand la victime est un policier blanc, l’accusé n’a presque aucune chance », a déclaré Sarah Totonchi, membre du comité de soutien de Troy Davis.









Le condamné est installé et sanglé sur une table matelassée. Dans certains États, les tables sont remplacées par des fauteuils, un peu comme ceux présents chez les dentistes, pour que le condamné soit plus confortablement installé.
Un ou deux cathéters sont ensuite placés sur son bras, ils serviront à injecter les produits. Une série de trois injections est nécessaire pour exécuter le condamné2 :
• la première, du thiopental sodique, est destinée à endormir le condamné ;
• la seconde, du bromure de pancuronium, est destinée à paralyser les muscles, provoquant un arrêt respiratoire ;
• la troisième, du chlorure de potassium, est destinée à provoquer un arrêt cardiaque.
Le déroulement de ces trois injections a été durant une certaine période entièrement automatisé au moyen d'un engin mis au point par le docteur Fred Leuchter, mais la fiabilité douteuse de l'équipement a entraîné son abandon progressif au profit de l'injection manuelle, réputée plus sûre. De plus, il arrive dans certains cas que des problèmes de dosage surviennent. La personne chargée des injections est alors obligée de recommencer depuis le début.
La mort du condamné survient généralement au bout de 5 minutes.
Bien que ses partisans la considèrent comme une méthode qui ne fait pas souffrir le condamné, car dès la première injection le condamné est endormi, ses adversaires la considèrent au contraire comme une des méthodes les plus cruelles.
La première injection est censée endormir le condamné, pourtant en raison de son extrême dosage, le temps d'action est inconnu. Le condamné peut donc être conscient, tout en étant immobile sur la table car paralysé.
Par ailleurs, à très haute dose le bromure de pancuronium donne une sensation de brûlure intense dans les veines où le produit s'écoule. Le condamné peut donc souffrir atrocement tout en suffoquant lentement et cela sans laisser rien transparaître.
Il est déjà arrivé que les produits ne fassent pas correctement effet. C'est ainsi qu'en Oklahoma, Robyn Lee Parks, exécuté le 10 mars 1992, fut pris de convulsions et suffoqua pendant près de dix minutes avant de mourir.
Si un problème survient durant l'injection, comme le non-écoulement d'un des produits dans les veines, la procédure d'exécution doit être reprise depuis le début. C'est ainsi qu'il est déjà arrivé que certaines exécutions durent jusqu'à une heure et demie, comme ce fut le cas pour Joseph Clark, le 3 mai 2006.
Les problèmes lors de la procédure d'exécution pourraient peut-être être évités si les personnes chargées des injections étaient formées aux soins infirmiers, mais ce n'est pas le cas. L'American Medical Association a interdit aux médecins et aux infirmiers d'effectuer les injections. C'est pour elle une violation du Serment d'Hippocrate. S'ils ne peuvent procéder aux injections ou même poser les cathéters, ils sont autorisés à assister à l'exécution. Il arrive cependant que les cathéters soient mal posées, ce qui a pour conséquence le non-écoulement d'un des produits dans les veines, ou que la pose des cathéters prenne un temps anormalement long, prolongeant d'autant le processus d'exécution3

mardi 7 octobre 2008

Criminel



















































Voilà un article actuellement en ligne qui annonce une soi-disant fin de partie pour Ségolène Royal :
http://www.cyberpresse.ca/international/europe/200810/06/01-26706-fin-de-partie-pour-segolene-royal.php En regardant bien, on voit qu’il s’agit d’un média canadien qui appartient à Cyberpresse Inc, propriété de Powercorp, http://fr.wikipedia.org/wiki/Cyberpresse

c'est-à-dire de PAUL DESMARAIS, milliardaire ami de Sarkozy, invité du Fouquet’s le soir du 6 mai pour fêter la victoire avec Sarkozy et médaillé de la légion d’honneur en 2008 par Sarkozy. Ce même Desmarais, qui avec Albert Frère (autre milliardaire, belge, invité du Fouquet’s et médaillé de la légion d’honneur par Sarkozy en 2008) avait fondé une cascade de sociétés d’investissement dont le groupe Bruxelles-Lambert (groupe GBL) qui entre autres avait réussi à mettre Albert Frère à la présidence du conseil de surveillance du groupe de TV M6 via une participation dans le groupe Bertelsmann, ainsi que d’autres amis de Sarkozy dont le milliardaire Bernard Arnault. Pour info, le groupe GBL est aussi le 1er actionnaire privé du géant gazier GDF-Suez, issu de la privatisation à la hussarde de GDF par Sarkozy en décembre 2007, c’est aussi un actionnaire-clé de Lafarge et du groupe Total








On a donc ici l’évidence de l’interventionnisme dans la campagne interne du parti socialiste de médias de capitalistes financiers étrangers, soutiens de Sarkozy, contre Ségolène Royal.









vendredi 3 octobre 2008

Ô Corse île d'amour (suite)

Trois semaines plus tard...


Christian Clavier n'est "plus le bienvenu" en Corse

03/10/2008 15:02
Christian Clavier n'est "plus le bienvenu" en Corse: c'est pour protester contre des lettres de menaces lui enjoignant de quitter l'île de Beauté que le comédien a porté plainte auprès des gendarmes ce vendredi.

Il y a quelques semaines, des indépendantistes avaient envahi sa maison, provoquant une vive réaction du chef de l'Etat et la démission du chef de la sécurité en Corse. Cette fois, c'est pour des insultes et des menaces de destruction de sa villa que Christian Clavier a porté plainte.

Le comédien a remis aux gendarmes des lettres anonymes qu'il a reçues et qui lui intiment l'ordre de "quitter la Corse ou il n'est plus le bienvenu". Des courriers non signés, en particulier par une organisation clandestine de l'île.

L'audition de Christian Clavier a duré plus d'une heure, dans sa villa de Punta d'Oro, près de Porto-Vecchio.

Sa maison est gardée jour et nuit par les forces de l'ordre, depuis son occupation le 30 août dernier par une cinquantaine de militants venus protester, durant une heure, contre ce qu'ils appellent le "bétonnage" du littoral et la "spéculation foncière" favorisant selon eux les continentaux.
Cette occupation avait amené le ministère de l'Intérieur a démettre de ses fonctions Dominique Rossi, coordonnateur de l'action des forces de sécurité sur l'île.


Il lui est reproché d'avoir choisi de laisser l'occupation se dérouler sous surveillance, alors qu'il en était informé au préalable. Son limogeage a amené des protestations des syndicats de police, qui estiment qu'il a agi de manière judicieuse et qui estiment que, dans cette affaire, les vainqueurs sont ceux qu'ils sont censés combattre.


Rien à voir bien-sûr avec le PADDUC !..

Plan d'Aménagement et de Développement Durable de la Corse (PADDUC)